« Stoup #4 »

Raphaël Emine. « Stoup #4 », 2020. Faience émaillée, eau, cyanobactérie (spirulina platensis), 43 x 42 x 18 cm. 1 400 Euros

 

RAPHAËL EMINE.

Je pratique la sculpture par la réappropriation de techniques artisanales, notamment le verre et la céramique. En m’appuyant sur une esthétique empreinte de fantasy, de jeu vidéo et de biologie, je développe des objets oniriques autour de problématiques liées au vivant, au corps et à la technique.

Cette production tend vers le fantastique et le merveilleux. Mes installations peuvent être traversées par des fluides, des végétaux ou des minéraux et mes sculptures entretiennent des rapports organiques avec leur environnement. Je positionne ainsi l’oeuvre en équilibre entre sa valeur d’usage et sa fonction esthétique.

À la manière de l’orfèvre ou de l’enlumineur, la minutie avec laquelle je compose mes sculptures invite le regardeur à déchiffrer une multitudes de détails, dans une profusion de formes qui évoque les arts décoratifs.

Actuellement j’approfondis mes recherches liées à la botanique et à l’entomologie afin de concevoir mes sculptures comme des écosystèmes indépendants et non-humains.

1 400 

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Raphaël Emine. « Stoup # 4 », 2020. Glazed earthenware, water, cyanobacteria (spirulina platensis), 43 x 42 x 18 cm. 1,400 Euros

 

RAPHAEL EMINE.

I practice sculpture by reappropriating artisanal techniques, in particular glass and ceramics. Based on an aesthetic imprinted with fantasy, video games and biology, I develop dreamlike objects around issues related to living things, the body and technology.

This production tends towards the fantastic and the marvelous. My installations can be crossed by fluids, plants or minerals and my sculptures maintain organic relationships with their environment. I thus position the work in balance between its use value and its aesthetic function.

Like a goldsmith or an illuminator, the meticulousness with which I compose my sculptures invites the viewer to decipher a multitude of details, in a profusion of forms that evoke the decorative arts.

Currently I am deepening my research related to botany and entomology in order to conceive my sculptures as independent and non-human ecosystems.